Après 9h de bus et un passage de
frontière au sommet d'un col au cœur des Andes nous voilà à
Bariloche en Argentine.
On est arrivé de nuit vers 21h30 et on
a partagé un taxi vers le centre avec une charmante prof de ski. En
effet, Bariloche est LA station de sport d'hiver des Argentins située
dans le parc National Nahuel Huapi mais la saison vient de se
terminer début Octobre. C'est aussi la capitale du chocolat!Miam !
On trouve une auberge de jeunesse
déserte assez rapidement, un petit plat de pâtes (pour changer!) et
hop au lit pour de nouvelles aventures le lendemain.
Après renseignements pris à l'office
de tourisme nous sommes partis pour une rando de 4h vers le petit
village de Llao llao avec le long du sentier différents lacs tous
aussi magnifiques les uns que les autres et un superbe panorama sur
le Lac Nahuel Huapi avec ses îles et les Andes en fond !
Splendide !
Le jour suivant rimera avec ballade
dans la ville avec dégustation de chocolats gratis dans les
différentes boutiques et fabriques puis on s'est rendus en
collectivos (c'est à dire le bus public dont les Argentins se disent
les inventeurs!) au Cerro Campanario. Ici, après 30 min de grimpette
très raide on accède à un point de vue à 360° sur toute la
région des lacs et les Andes. C'est à couper le souffle.
Pour le retour, on a enfin tenté pour
la première fois le STOP et ça a bien mordu à l'hameçon : en
moins de 10 min nous voilà à bord d'une voiture avec un étudiant
argentin bien sympa au volant ! Expérience rigolote mais
c'était pour un trajet de 30 min environ, on ne sait pas si ça
pourrait fonctionner pour des plus longs trajets comme celui qui nous
attend le lendemain !
Et oui, accrochez vous, 30heures de bus
« semi cama » nous attendent pour rallier El Calafaté
1800kms plus au Sud toujours en Argentine. Départ à 9h et arrivée
prévue à 14h le lendemain.
On est donc plutôt bien installé dans
ce bus car les dossiers s'inclinent presque à l'horizontal et on a
aussi un repose-jambes. De plus les sièges sont bien larges et même
des repas sont servis à bord. C'est un peu comme dans l'avion en
fait. On a emprunté en partie la mythique « ruta 40 »
qui serpente sur les contreforts des Andes et qui traversent quelques
villages tous plus perdus les uns que les autres.
Vers midi, le chauffeur s'est dit,
tiens si je leur mettais un film ! Donc super ça changeait, on
était tout content de regarder un peu la TV!Puis il y en a eu un
deuxième dans la foulée puis un 3ème, puis.... Et c'est au final
6 films de suite et 12heures plus tard qu'on a enfin pu avoir la
paix !! Enfin façon de parler car à minuit en repartant d'un
terminal où on a pris des passagers, le bus d'à côté nous est
rentrer dedans en reculant et a cassé la vitre de notre bus en mille
morceaux juste derrière nous ! Elle tenait encore mais on ne
pouvait pas rouler avec ça : le chauffeur l'a rafistolé tant
bien que mal avec du scotch et nous sommes finalement repartis !
Enfin, quand on a aperçu El Calafaté
au bord du Lago Argentino bleu turquoise on était trop heureux !
La fin d'après-midi, on s'est donc
installé dans notre auberge de jeunesse trop mimi et on s'est baladé
dans la ville (ou plutôt dans la rue principale) en faisant des
courses, lèche-vitrine, et en se renseignant sur les prix des
excursions au Glacier Perito Moreno, le site à voir absolument ici !
On a finalement opté pour la solution
économique, c'est à dire prendre le bus public jusqu'au glacier et
ne pas faire de tour en bateau ou de mini trek sur la glace.
A donc 1 bonne heure de bus de El
Calfaté se trouve le parc national Los Glaciares et son point
d'orgue:le Glacier Perito Moreno. Cet époustouflant champ de glace
est l'un des plus mobiles de la planète, parcourant jusqu'à 2m par
jour et alors que la plupart des glaciers de la planète reculent,
celui ci est considéré comme stable. On passe donc 5h à arpenter
les passerelles d'observation qui se trouvent assez près de ces murs
de glace fascinants, à admirer et écouter le glacier. En effet, il
craque beaucoup et quand la glace qui est en train de fondre à la
base du glacier ne supporte plus la pression de l'eau (oui le glacier
arrive directement sur un lac) ce barrage naturel se rompt en une
formidable explosion de glace et d'eau ! Inoubliable !
Après ces deux endroits magiques de la
Patagonie Argentine, on a continué encore plus en terre australe
pour rejoindre Puerto Natales, toujours en Patagonie mais côté
chilien cette fois pour aller se frotter au Parc Torres del Paine et
son fameux W !!
En arrivant à Puerto Natales au bord
de l'océan, c'est déjà vraiment le bout du monde ! Un vent
violent souffle en rafales et le soleil disparaît en moins de 30
secondes pour laisser place à des giboulées de neige alors qu'on
galérait à trouver une « hospedaje » après 3
complètes. Finalement, nous voilà « acceptés » à
l'hostal Nancy ! Nickel, car en plus ils louent du matériel de
camping dont on aura besoin pour le circuit W ! On va quand même
faire un tour en ville pour prendre les renseignements nécessaires à
notre trek de 4, 5jours, comparer les prix de location du matériel,
faire des courses. On a finalement loué 2 matelas et une tente à
notre auberge ! En fin d'après-midi on a préparé nos sacs
pour partir en autonomie pendant 4j. On a donc chacun sur le dos :
matelas, tente, sac de couchage, sac à viande, nourriture (pâtes,
conserves, fruits et fruits secs, chocolats), réchaud, popote, veste
gore tex, un change sec pour le soir au cas où!).
On partage le repas du soir et la
soirée avec deux couples de français super sympas qui reviennent du
W sans l'avoir terminé à cause du trop mauvais temps et les deux
filles se sont fait des entorses (genou et cheville) ! Ils nous
ont raconté leur galère, c'était très très drôle à entendre et
ils le racontaient avec du recul mais ne rigolaient pas du tout sur
le coup ! On ne s'est pas laissé abattre et on est tous partis
se coucher, eux pour récupérer, et nous pour profiter d'une bonne
nuit sûre avant d'aller affronter mère Nature au cœur du W.
Le W est donc un trek de 4 à 5j qui
passe des lacs, aux montagnes, aux glaciers, aux forêts tout ça au
milieu des guanacos (les lamas du coin) et des pumas ! Le chemin
n'est pas techniquement très difficile mais se sont les conditions
météo et le chargement nécessaire qui le rende difficile. Le plus
facile est de le faire d'ouest en est pour avoir le vent dans le dos
et profiter des vues les plus saisissantes sur « los cuernos »
et « las torres ». C'est ce que nous ferons.
Ainsi, le lendemain à 7h30 on est dans
le bus qui après 2h nous dépose à l'embarcadère du catamaran qui
nous a fait traversé le lac Péhoé pour véritablement commencer à
marcher depuis l'autre rive. On rencontre Yves et Cécile, un couple
de Valence qui fait un voyage de noce 4 ans après et deux enfants
plus tard ainsi que Margot et Coline de Paris en vacances (que l'on
avait déjà croisé au Perito Moreno et qui elles font qu'une partie
du trek). Tout le monde est confiant pour que tout se passe bien.
Après 30 minutes de bateau on débarque
au refuge Péohé.
L'endroit est vraiment hostile, le ciel
est bas, d'un gris menaçant mais pour l'instant pas de pluie. Par
contre le vent est lui bien présent, des rafales qui font peur car
elles nous déportent véritablement !
A 12h48 précises, c'est parti sur la
branche ouest du W qu'il nous faudra faire elle en A/R.
L'objectif du jour était de rejoindre
le camping gratuit Las Guardas à 6h30 de marche annoncées !
Dans le parc il y a 3 moyens de logement :
-le camping gratuit : option
choisie. Rien ou presque, un petit abri et un torrent proche pour
avoir de l'eau.
-le camping standard : en tente
toujours mais il y a des douches chaudes et des sanitaires et un coin
cuisine, prix autour de 10-14€/personne.
-le lodge : attention rien à voir
avec le lodge népalais, c'est plutôt luxueux : salle commune
avec canapé en cuir, bar, poêle mais c'est hors de prix, limite du
vol car c'est 55 euros par personne pour un lit avec draps !
La première heure se passe plutôt
bien, mais très vite ensuite la pluie s'invite et avec le vent
terrible, elle tombe presque à l'horizontal ! On est fouetté
par cette pluie qui ne veut pas cesser, les vents nous ballottent, on
avance tant bien que mal. Il ne s'agit pas de petites bourrasques de
temps en temps, c'est un vent continu, hyper violent qui s'abat sur
nous et qui est amplifié par le relief. On essaye même d'accélérer
pour rejoindre le refuge grey où on pourra se réchauffer, manger et
surtout se sécher. En effet, nos hauts sont encore secs sous la
veste gore tex mais les pantalons sont à essorer et nos chaussures
commencent à être dangereusement humides ! Sur le sentier, on
arrive quand même à lever la tête pour commencer à apercevoir au
loin le glacier grey avec ses icebergs à la dérive sur le lac, ça
récompense !
En 2h50 eu lieu des 3h30 annoncées,
nous voilà au refuge où on nous autorise à pique-niquer à
l'intérieur : au menu boîte de thon, pomme, chocolat. Ils nous
offrent même un thé et un café ! On a mis nos gants à sécher
vers le poêle et après s'être rassasiés, on squatte 10 min devant
le poêle pour faire sécher nos pantalons. Le plus dur avant de
repartir est de remettre nos veste gore tex trempées ! On
grelote !
Il nous reste théoriquement 2h (4km
mais c'est les montagnes russes) jusqu'au camping et la pluie ne veut
toujours pas s'arrêter ! On passe la deuxième et on attaque
comme des malades pour arriver au plus vite, monter la tente et se
mettre au sec, ou du moins essayer !
Dans la deuxième portion du sentier,
les points de vues sur le glacier se succèdent, c'est très très
beau même sous le mauvais temps ! Il y a un énorme icebergs
qui s'est détaché du glacier et qui dérive quelques mètre devant,
ça fait vraiment banquise !
Là, on commence sérieusement à être
de nouveau trempés mais cette fois ci jusqu 'au os : c'est
la marre dans nos chaussures, nos pantalons nous collent à la peau
tellement le tissu est imbibé d'eau, nos hauts sont humides, cheveux
trempés (car oui marcher avec la capuche tout le temps c'est très
pénible). Bref, on arrive enfin à notre campement en un temps
record de 50 min au lieu de 2h, super crevés. Là, le site ne paraît
pas très accueillant, sol détrempé, abri en partie défoncé par
des arbres tombés car déracinés par le vent, …
On monte donc la tente entièrement sur
la table sous l'abri avant d'aller la poser au sol et bien l'arrimer
si on ne vent pas s'envoler avec !!! On a essayé de choisir
stratégiquement notre emplacement et on a pas mal joué car 2h plus
tard, des flaques nous entourent mais pas sous notre tente ! On
se serre à l'intérieur avec nos sacs, on enlève nos vêtements
trempés et on se met au chaud dans nos duvets ! La pluie et le
vent redoublent d'intensité, et on voit que la tente ne va pas être
totalement étanche. Le toit étant complètement trempé, la toile
de la chambre commence à être très humide, on essaie de ne pas se
coller contre les bords mais l'espace est très réduit par nos
sacs !!!
On remarque aussi qu'on prend l'eau par
le dessous, le sol étant complètement gaugé, l'eau remonte et la
bâche du dessous de la tente ne nous isole pas ! Les matelas au
sol commence aussi à prendre l'eau et nos sacs de couchages
s'imbibent peu à peu.....autant être franc à ce moment de la
journée, on se sent bien peu de chose face à la nature ! On
tient 2h comme ça, à chercher une position confortable sans toucher
les parois ni faire trop traîner nos duvets sur le sol !
Finalement il y a une accalmie et on en profite pour ressortir de la
tente et préparer le dîner ! Biensur il faut remettre les
habits trempés, surtout les chaussettes et les chaussures...petit
moment de bonheur.
On se met sous l'abri, qui goutte de
partout, on allume le réchaud et on fait cuire nos pâtes !! On
mange directement dans la casserole, sous l'abri, le pluie et le vent
commencent tout doucement à revenir...soirée romantique !
On replie tout et on se remet sous la
tente, 21h, le moral dans les chaussettes, et en se disant « 4
jours comme ça, JAMAIS » !!!
On élabore donc un plan pour le
lendemain, car si on se lance dans les autres branches du « W »
il faudra faire le parcours en entier et affronter la météo. Du
coup on décide de se lever tôt pour redescendre à Péhoé avant
12H30 (heure de départ du bateau) pour pouvoir regarder la météo
des jours à venir au refuge et décider de continuer ou de reprendre
le bateau pour retourner à Puerto Natales...sans avoir fait le W en
entier !
Mais il fallait avant tout passer la
nuit !!! Emma n'a pas fermée l’œil de la nuit et Xavier a
juste somnolé ! Il faut trouver la position qui permette d'être
à l'aise, sans toucher les parois de la tente et réussir à
s'endormir avec le bruit du vent, de la pluie et des arbres qui
craquent de manière vraiment dangereuse autour de nous....douce
nuit ! La cerise sur la gâteau, Emma commence à se faire des
films avec les pumas qui traînent dans les parages et la possibilité
qu'un arbre s’abatte sur la tente quand Xavier, qui était en train
de rêver, pousse un cris (en rapport avec le rêve, il se disputait
avec quelqu'un) !! La pauvre Emma est morte de trouille, dispute
Xavier pour lui avoir fait une peur bleue, et voilà comment on
attend gentillement le petit pour se lever.
Après ce doux repos, on replie la
tente complètement trempée, on refait nos sacs et on remet nos
habit humides voire encore trempés ! Un petit déjeuner rapide
pour tenir jusqu'à midi et hop on redescend en direction de Péohé !
Le rythme est très très soutenu même si ce matin, il ne pleut
plus, il n'y a pas beaucoup de vent et le ciel semble même vouloir
se dégager. Il faut absolument que l'on arrive avant 12h30 pour se
laisser toutes les possibilités envisageables. Il ne nous faut que
45 minute pour rallier le refuge Grey (2h en théorie). On discute
rapidement avec Yves et Cécile qui ont dormi au refuge ! Ils
compatissent pour notre nuit et nous avouent qu'ils ne feraient pas
ça en camping. On reprend la route et on enchaîne les 11km qui nous
séparent de Péohé ! 2H40 plus tard, record du monde battu, on
arrive au bord du lac et au refuge ! Le temps est avec nous,
certes il y a du vent, mais pas de pluie et les nuages commencent à
se faire de moins en moins nombreux, on aperçoit les sommets !!
On va directement demander quelle est
la météo pour les jours à venir...PLUIE et PLUIE !! La
décision n'est donc pas dure à prendre :on rentre !
On pique nique rapidement en attendant
le bateau et on monte à bord 24h après avoir débarqué. Sur le lac
on voit « Los Cuernos del Paine » qui culminent à plus
de 2000 mètres. Malheureusement l'appareil photo est dans un sac à
dos qui se trouve sous la pile de sac de tous les passagers,
impossible d'aller le chercher ! On fait les 30 minutes de
traversée sur le pont supérieur du bateau pour admirer le paysage
et profiter enfin du soleil.
On débarque et on remonte dans le bus
en direction de Puerto Natales. Lors du stop à la sortie du parc, on
en profite pour jeter un coup d’œil derrière nous et on voit deux
des trois « Torres » qui sont complètement dégagées.
C'est absolument magnifique ! On grave cette vision dans nos
esprits car il est certain que l'on va revenir et faire le W dans son
intégralité ! Il faudra juste choisir une meilleure saison,
préparer un budget pour pouvoir dormir en refuge s'il le faut et
espérer que le temps soit de la partie.
On retourne à l'auberge, et la
personne de l’accueil comprend tout de suite ce qui s'est passé.
On envoie tout de suite un mail aux français qui avait eux aussi
rebroussé chemin en leur disant qu'on veut bien retenter le coup
avec eux pour conjurer le mauvais sort !
On est donc déçu d'avoir échoué,
mais il est certain que c'était la meilleure décision à prendre,
il nous est impossible de faire un trek dans ces conditions, il
faudra donc revenir ! Déçus mais en même temps heureux de
l'avoir fait au moins une partie, c'est vraiment un circuit
extraordinaire ! De plus, on a vraiment expérimenté la
Patagonie de l'intérieur, tel que la météo est la plupart du
temps : extrême ! Cette région est magique : hostile
et attirante à la fois !
C'est ici que notre aventure en terres
australes, tout au sud du monde s’arrête car nous allons désormais
remonter tranquillement en direction de Buenos Aires avec une halte
à la Péninsule Valdès. Après avoir reçu plusieurs avis sur la
question nous avons décidé de ne pas aller à Ushuaïa, qui ne
présente visiblement pas vraiment d'intérêt sauf celui de dire
« j'y étais ».
On espère aussi avoir un peu plus
chaud !!
Au bord du Lago Argentino, Bariloche |
Les boutiques de chocolat |
Vue depuis le Cerro Campanario |
L'auberge de Bariloche |
Sur la route 40 |
30h de route!! |
C'est long! |
Les tasses à Maté |
Le Perito Moreno |
Le glacier qui se casse... |
...et qui tombe dans le lac en faisant un bruit monstrueux! |
Puerto Natales, patagonie chilienne |
La Salto Grande, plus grande cascade du parc Torres del Paine |
Avant de monter sur le bateau pour Pérohé |
La pause casse-croûte au refuge Grey |
Le galcier Grey, sous un temps radieux!!! |
Sous l'abris, pour préparer le diner! |
Le camping!! |
Vu l'état on se doute que c'était pas cool! |
La nuit!!! |
Les Torres vu de l'entrée du parc |
Puerto Natales |
Le Navimag, croisière de 5 jours dans les fjords de la Patagonie...une prochaine fois! |
Effectivement, quelles péripéties !!!! C'est le genre de souvenirs qui font rire une fois rentrés, pas sur le coup, non ??? C'est bien vous avez été raisonnables et puis voilà une bonne raison pour pouvoir y retourner un jour ... mais une seule vie ne sera peut être pas suffisante pour faire tout ce qui vous trotte dans la tête, vous êtes insatiables !!! En même temps, on ne vit qu'une fois alors ....go,go,go !!! Des bisous les jeunes et vivement votre prochaine étape.
RépondreSupprimerHoua que d'intencités entre les évènements naturels et les découvertes de ces magnifiques paysages ! vos photos sont superbes, oui il fallait bien lire votre blog ainsi on a pu vivre de loin dans notre fauteuil au chaud après un bon repas vos aventures !!! bon courage mes chéris, et à la prochaine lecture. Bisous.
RépondreSupprimerMam
BONJOUR DE FLAVI! SOUS LA PLUIE AUSSI, un temps de Toussaint... ce we nous marchons aussi, pas dans les mêmes conditions: balade et cousinade à Cublise, tour du lac included!!!!
RépondreSupprimeron vous embrasse et pensons bien à vous
Francçoise et Aurélia
Coucou! De bien belles photos aussi! Dommage que le soleil ne soit pas toujours de la partie... On a mis notre post sur l'ascension du volcan villarica, qu'on a faite en ski: énorme! On est maintenant à Puerto Montt, après un petit tour à Chiloé on descend dans le Sud. Dommage qu'on ne se recroise plus. Bonne continuation de voyage!
RépondreSupprimerSophie et Anatole
Coucou !
RépondreSupprimerOn sera à torres dél paine dans 15 jours, j'espère qu'on aura plus de chance que vous sur le temps, parce qu'on est pas vraiment equipé !
Bonne continuation de voyage
Alice et Henri (de Valparaiso)
30 degrés annoncés à Buenos Aires... Attention au choc thermique ! je croise les doigts pour que vous ne tombiez pas nez à nez avec les cucarachas volantes.
RépondreSupprimerBises.
AC and co
On revient de Torres del Paine. On a eu plus de chance que vous sur le temps, donc on a bien pensé à vous!
RépondreSupprimer